« Cher journal, je comprend plus rien. Ils pourrissent ma vie, m'empêche de vivre et ce même si la paix s'est installé à Forks. J'ai dix-sept ans, dix-sept ans et je dois encore obéir au doigt et à l'œil à mes parents. Même Jake prend leur partie, m'expliquant à chaque fois que c'est pour mon bien et que sans eux je serais certainement en danger. Qu'ils aient tous raison ou non, j'en ai marre. Il y à deux semaines, Kate m'invitait à son chalet dans le nord pour passer la semaine de relâche. À quoi ai-je eu droit ? Un non catégorique du grand Edward Cullen et de sa femme Isabella Swan Cullen. Je vais finir par disjoncter et là crois-moi ca ne sera pas du jolie. » « Edward, tu peux venir ici s'il te plait ! » criais-je de la cuisine. Avoir été humaine, j'aurais sans doute verser tous les larmes de mon corps, mon cœur aurait fait quatre-vingt-dix-huit tours et j'aurais finalement perdu connaissance, mais je me contenta de me laisser tomber sur le chaise tout près. Je ne comprenais pas, les questions s'imposaient par milliers dans ma tête et c'était comme si tout autour s'était arrêter de vivre ou bouger. Mon mari arriva finalement, il haussa les sourcils en me voyant dans un était si pitoyable et il vint s'installer près de moi tout en arrachant doucement la lettre de mes mains. '' Je pars. C'est finit pour moi la vie ici, je dois vivre ma propre vie maintenant, voler de mes propres ailes et découvrir le monde. Je ne crois pas revenir bientôt, je sais le mal que je vous cause, je sais à quel point vous allez sans doute m'en vouloir, mais c'est ainsi. Vous m'avez toujours appris que je devais vivre ma vie pour moi et non pour celle des autres et c'est aujourd'hui que j'en prend compte. Je ne suis chez Jacob, je ne suis pas avec Jacob et je lui ai aussi laissé une lettre lui expliquant mon choix. Je vous aime, plus que tout. Votre fille, Renesmée. '' Edward poussa un long soupir et passa une mains nerveusement dans ses cheveux. « Nous devons prévenir tout le monde Bella. Si c'était un coup, si elle n'était pas partie d'elle même. » Il prit sa tête entre ses mains et murmura pour lui-même. La même idée m'avait traversé la tête quelques minutes auparavant, mais je l'avais tout de suite effacé, ne voulant pas me faire de fausses peurs. « Nous allons la retrouver. » murmura t'il. Nous allons la retrouver, nous allons la retrouver, nous allons la retrouver. Ses mots ne cessaient de repasser dans ma tête.